phocéenne, musicale, multiculturelle,
passionnée, ouverte sur le monde,
en un mot éternelle...
Marseille
La calanque furtive en éclats adagios
Souffle sur ses secrets des vagues rougeoyantes
Volées au large bleu de Marseille envoûtante
Et pousse à tout jamais des soupirs pour piano
Puis le sable enroulé au mât de mes regards
Verse sous les bateaux inlassablement nus
Les regrets flamboyants de mes trésors perdus
Quand les voiles au port s’endorment chaque soir
Puis les toits des maisons s’enfumant de refrains
Semblent jouer aux dés quand au cœur de la nuit
Depuis la Castellane on voit rugir la pluie
En cube orchestrés par le chant des marins
O Marseille adorée ville autant qu’océan
Enflammant le ballon de tes sphères secrètes
De chacun assemblant la peau pour une fête
Attends-moi laisse-moi devenir ton amant
Sébastien BONMARCHAND
7 avril 2003
3 commentaires:
C'est assez mauvais, et Marseille, cette ville laide comme un remords, n'a franchement pas besoin qu'on tente de la chanter.
dur, dur anonyme... Moi qui ne suis jamais allé à Marseille, ce poème m'a plutôt donné envie d'aller y faire un tour... et je trouve que le style de Seb est assez bon, très bon même... Bref, c'est vrai que chacun a le droit d'avoir son avis mais un peu de tact et de modération ne font de mal à personne... à bon entendeur.
Désolé d'avoir été dur, je n'ai fait que donner mon avis... Vous avez une bien belle initiative, mais je n'ai pas du tout apprécié ce poème, et je reconnais manquer totalement de tact. Je ne voulais pas blesser...
A. Nonyme... amusant ce nom.
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